Mon retour sur un des romans de Lena Clarke
Après une longue période d’absence, je suis de retour pour votre bonheur, ou, malheur, c’est vous qui décidez ! Oui, je sais… Je suis impardonnable de n’avoir donné aucune nouvelle. Mais, vous savez, la vie….
Revenons à nos moutons ! Aujourd’hui, j’aimerais vous parler d’une histoire qui m’a particulièrement touchée ces derniers mois. Pourtant, la romance ne prête pas à un questionnement de soi-même, loin de là. Mais, parfois, même pour le lecteur, il y a des moments parfaits pour lire, et d’autres non.
« La lecture de ce livre m’a bouleversée »
Aussi, cette histoire m’a remué, littéralement, les tripes ! Peut-être était-ce à cause de mon identification à l’un des personnages, ou à l’histoire en elle-même. Qu’importe finalement ! La lecture de ce livre m’a bouleversée, et remis en question sur ma vie, et sur ma façon d’interagir avec le monde extérieur…
Je parle bien sûr de « Pas à pas« , de celle que l’on ne présente plus dans le milieu, Lena Clarke. Et, vous l’aurez compris, je ne fais pas mon retour sur ce livre par « copinage » ; je ne fais pas ce genre de chose, personnellement. Mais plus, car cette romance m’a passionnée. Je sais, je me répète ! Lorsqu’on aime, on a tendance à être, un chouia, euphorique et répétitif…
Pour l’heure, laissez-moi vous raconter mon ressenti quant à ce chef-d’œuvre !
Tout d’abord, pour ceux qui ne l’ont pas lu, voici le résumé du livre :
« Une patiente acariâtre arrive une nouvelle fois à se débarrasser de la kiné censée l’aider. Lorsqu’une nouvelle débarque, elle pense pouvoir faire de même, mais c’est sans compter le côté têtu et obstiné de la professionnelle en question. Leur relation d’abord conflictuelle va peu à peu évoluer vers un respect mutuel et de profonds sentiments… »
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Déjà, ça met dans l’ambiance, hein ? Je confirme ! Et, bien que j’étais sceptique avant mon achat, ne me demandez pas le pourquoi, je n’ai jamais été normale, dès les premières lignes, je fus prise dans la vie d’Émilia et Avery. Et ce, pour plusieurs raisons.
Premièrement, connaissez-vous la méchanceté gratuite qui cache quelque chose ? Par exemple, parfois, il arrive que les plus fervents homophobes soient en réalité des gays refoulés. Et d’autres fois, cela cache toute autre chose ; mais ça, je vous laisserai le découvrir lors de votre lecture ! #nospoiler. Et cette méchanceté a été un point que j’ai particulièrement apprécié. Car, au fond, elle cache plus qu’il n’y paraît.
« L’histoire est ficelée parfaitement et l’on sent que, derrière, le travail a été dantesque. »
Secundo, l’histoire est ficelée parfaitement et l’on sent que, derrière, le travail a été dantesque. Le fort caractère de l’une, la patience de l’autre, la situation presque psychopathique entre elles font que la romance est magnifique lorsqu’elle apparaît. Et non, ce n’est pas mon cœur guimauve qui parle !
Troisième point, le chien ! Peut-on parler de cette boule de poils ? Mignon, aimant, adorable, sociable, et passionné, je dois vous avouer être tombée sous le charme du Husky, Mallow ! Et avec lui, ce livre a quelque chose en plus !
Et pour finir. Quatrième point ; primordial, là encore : leur lente découverte. Je sais que certains préfèrent lorsque les deux personnages se découvrent rapidement. Or, je suis de ceux qui aiment quand l’histoire prend le temps d’être posée, d’être romancée, d’être vécue. Et c’est le cas ici. On découvre peu à peu les deux protagonistes, doucement, mais pas trop non plus. On apprend à les connaître, et on comprend leurs émotions, leurs doutes, leurs agissements.
« J’ai mis quatre jours à m’en remettre ! »
Alors, je ne sais pas si vous l’avez déjà vécu, mais après la lecture de cette romance, j’ai mis quatre jours à m’en remettre. Quatre longs jours où je n’ai eu de cesse de ressasser cette merveilleuse histoire. Quand je dis qu’elle m’a pris aux tripes, je ne mentais pas !
Voilà donc mon retour sur mon nouveau livre de l’année ! Oui, c’est bien le meilleur que j’aie lu durant cette année 2020 !
Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?
AGDG.